21 min. : Une faute de Kanté offre un coup franc aux CCroates, complètement sur la droite du terrain, à hauteur de la surface. Au terme d’une action initiée par Paul Pogba, il est trouvé à l’entrée de la surface de réparation par Antoine Griezmann et marque d’une frappe croisée. Les intérêts particuliers, les ambitions personnelles cachent au vulgaire la gravité du moment : nonobstant les oscillations des affaires du jour, elles ne sont qu’une ride à la surface de l’abîme ; elles ne diminuent pas la profondeur des flots. L’église de Waterloo est décorée du nom des officiers anglais tombés en 1815 ; on ne retrouve dans l’église de Fontenoy qu’une pierre avec ces mots : « Ci-devant repose le corps de messire Philippe de Vitry, lequel, âgé de vingt-sept ans, fut tué à la bataille de Fontenoy le 11 de mai 1745. » Aucune marque n’indique le lieu de l’action ; mais on retire de la terre des squelettes avec des balles aplaties dans le crâne.
Ce dernier monarque s’était marié le 16 mai 1770 à la fille de Marie-Thérèse d’Autriche : on sait ce qu’elle est devenue. La société, d’un autre côté, n’est pas moins menacée par l’expansion de l’intelligence qu’elle ne l’est par le développement de la nature brute : supposez les bras condamnés au repos en raison de la multiplicité et de la variété des machines ; admettez qu’un mercenaire unique et général, la matière, remplace les mercenaires de la glèbe et de la domesticité : que ferez-vous du genre humain désoccupé ? La trop grande disproportion des conditions et des fortunes a pu se supporter tant qu’elle a été cachée ; mais aussitôt que cette disproportion a été généralement aperçue, le coup mortel a été porté. » ou cette autre : – « Pour comprendre la musique de Wagner, il faut être doué du sens de seconde ouïe. On aperçoit des monarques qui se figurent être des monarques, des ministres qui pensent être des ministres, des députés qui prennent au sérieux leurs discours, des propriétaires qui, possédant ce matin, sont persuadés qu’ils posséderont ce soir. Auprès des mesquines loteries contingentes, le genre humain joue la grande partie ; les rois tiennent encore les cartes et ils les tiennent pour les nations : celles-ci vaudront-elles mieux que les monarques ?
Les principes les plus hardis sont proclamés à la face des monarques qui se prétendent rassurés derrière la triple haie d’une garde suspecte. Ils n’auront ni la belle humeur, ni l’indestructible santé, ni l’intarissable esprit des grands seigneurs d’autrefois ; ils n’auront point la force de tempérament de ces Polonais que j’ai vus accepter les plus modestes emplois, parfois vivre avec rien, rester couchés toute une journée, quand le pain manquait, et se contenter d’une tasse de thé. La malédiction divine entre donc dans le mystère de notre sort ; l’homme est moins l’esclave de ses sueurs que de ses pensées : voilà comme, après avoir fait le tour de la société, après avoir passé par les diverses civilisations, après avoir supposé des perfectionnements inconnus, on se retrouve au point de départ en présence des vérités de l’Écriture. Pour moi, je le répète, je n’ai prétendu entreprendre qu’une œuvre de bonne volonté, montrer par quel oblique et cauteleux ennemi la France avait été envahie, corrompue, abêtie, au point de briser de ses propres mains tout ce qui l’avait faite jadis puissante, respectée et heureuse. Le préfet de Lespée y rétablit d’abord l’ordre à la façon d’Espivent, on cita de lui cette phrase : Je sais ce que c’est qu’une émeute : la canaille ne me fait pas peur !
C’est au ciel que j’aspire à te voir à mes côtés durant l’éternité toute entière ; c’est à mon Dieu que je veux te présenter comme ma joie et ma couronne. L’invasion des idées a succédé à l’invasion des barbares ; la civilisation actuelle décomposée se perd en elle-même ; le vase qui la contient n’a pas versé la liqueur dans un autre vase ; c’est le vase qui s’est brisé. » La parole de celui qui parlera le premier s’achèvera, on n’en peut douter, dans une acclamation formidable. De cette prédisposition des esprits il résulte qu’on n’imagine d’autres moyens de toucher que des scènes d’échafaud et des mœurs souillées : on oublie que les vraies larmes sont celles que fait couler une belle poésie et dans lesquelles se mêle autant d’admiration que de douleur ; mais à présent que les talents se nourrissent de la Régence et de la Terreur, qu’était-il besoin de sujets pour nos langues destinées si tôt à mourir ? Mais, notamment cette saison du fait qu’un nouvel équipementier soit à la manœuvre.